Street-food et gastronomie, un mariage impossible ? Et pourtant ! Dernièrement, la cuisine de rue flirte avec le haut-de-gamme. Après le succès des kekabs premium de Kairos Döners & Co, voici 65 degrés, une sandwicherie à basse température qui promet de révolutionner votre pause lunch !
La cuisson à basse température
Késako ? La cuisson à basse température, c’est le fait de cuisiner en dessous de 100°, idéalement entre 50 et 70°. 65 degrés, c’est donc le nec plus ultra de la cuisson. Pourquoi ? Elle permet de préserver tout le goût des aliments et de préserver les bonnes graisses et l’intégralité des nutriments. À 65 degrés, le veau et la volaille sont tendres à souhait ! Et cela tombe bien, car c’est le chiffre fétiche du chef Tomislav !
Un sandwich premium
Ce sandwich, vous l’aurez compris, n’a rien à voir avec les sandwichs traditionnels. C’est un peu le blond dans le sketch de Gad Edmaleh. Pas une tomate qui dépasse, pas de sauce qui dégouline entre les doigts… D’ailleurs, les produits sont frais, locaux et de saison. L’équipe du restaurant met un point d’honneur à veiller sur la qualité avant tout ! On ne peut rien lui reprocher à ce sandwich, sauf d’être absolument délicieux...
Du sur-mesure
Le concept : vous composez vous-même votre sandwich. Pain artisanal ou galette, veau du Pays basque, volaille des Landes ou Cèvap (que du locavore), chou rouge relevé, asperges-sauce paprika, betterave-fêta ou navets-tzatziki… L’originalité, c’est le maître-mot du resto.
Cependant, ne vous fiez pas aux apparences, si les sandwichs ont l’air de porter des smokings trois pièces, il ne feront aucun mal à votre porte-monnaie. Pour un sandwich, vous pouvez compter entre 9 et 12 euros. Un juste prix pour un sandwich de luxe, non ?
Où ça ?
1 Cours Pasteur, 33000 Bordeaux
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© Photo de couverture : 65 degrés