France, États-Unis, Espagne, Syrie, Irlande, Angleterre… Autour du monde, les artistes du street art ont réagi au meurtre de George Floyd par un travail pour le moins percutant. Pour qu’ici comme ailleurs, personne n’oublie jamais son visage.
« I can’t breathe » s’est écrié à de multiples reprises George Floyd le 25 mai dernier. Aujourd’hui, ces mêmes mots résonnent dans les esprits avec effroi. Il y a quelques jours, George Floyd, un homme Afro-Américain de 46 ans décédait étouffé lors de son interpellation par un policier blanc de la ville de Minneapolis, dans le Minnesota. Après le temps de la colère et de l’émeute, vient à présent le temps du deuil et de la revendication politique. Depuis le premier jour, les artistes du street art ont quant à eux oeuvré sur les murs pour exprimer leur colère et rendre hommage au regretté George Floyd, dans l’espoir de bousculer les consciences, unir et élever les voix. Cela semblait être une urgence.
